Série LAdultère : (Partie 13) Blandine : Pipe Et Cunnilingus Avec Des Amants Pratiquement Inconnus
Je mappelle Blandine, je suis une femme de 38 ans, mariée à Xavier depuis 12 ans avec lequel nous avons eu deux s. Je pense être une femme moderne avec un corps sain, je ne suis pas une bimbo, jessaye dêtre naturelle. Jai des yeux marrons et des cheveux châtain clair, mi longs avec une coupe au carré. Depuis mon deuxième accouchement, jessaye de faire un peu de sport tous les jours afin de mentretenir, de cette façon, mon corps est toujours au top et je pense plaire aux hommes. Tout à commencer il y a deux ans.
Après douze ans de mariage, la routine sinstallait dans notre couple, nous avions pourtant la vie que nous désirions. Nous nous aimions mais avec le boulot, léducation des s, les petits soucis de tous les jours, les crédits de voitures et de maison, il ne restait plus beaucoup de temps pour parler amour, nos ébats amoureux étaient tombés dans la banalité. Nous nous en apercevions tous les deux, néanmoins, nous pensions que cétait un peu normal que la passion s'étiole et saffaiblisse. Les relations sexuelles avec Xavier étaient moins flamboyantes et sespaçaient, nous navions plus ces baisers fougueux et nos parties de sexe des premières années.
Comme beaucoup de femmes, jaimais être toujours séduisante, je ne partais pas au travail sans être bien habillée, ni maquillée. Mon mari me le reprochait souvent et je men étais rendu compte bien plus tard. Il était vrai que les week-end, je restais plus ou moins négligée même si pour faire le ménage, je nallais pas mettre une robe du soir mais en jogging délavé et mal coiffée, je ne me mettais pas en valeur devant lui ni même devant les s. Aujourdhui, même si je ne sors pas, jessaye dêtre un minimum désirable.
Je minquiétais car jarrivais à un âge où les hommes qui me regardaient étaient tous beaucoup plus âgés, je ne ressentais plus le désir chez les hommes de trente ou quarante ans. À midi au café où nous prenions notre repas avec ma collègue, je ne me faisais pas accoster ni aborder.
Et pourtant, pour la première fois, ce jour-là, Xavier travaillant tard, jétais allée seule à une réunion de parents délèves. L'un des professeurs de ma fille, la petite quarantaine, me tournait autour depuis longtemps, il avait toujours un petit mot gentil à mon intention mais sans plus. Le thème était lorganisation de la fête de fin dannée. Il sétait installé de son propre chef à mes côtés et pendant cette réunion, il mavait fait des compliments sur mon ainée et par la même occasion sur moi. Javais retrouvé enfin le pouvoir de séduire et jen étais toute heureuse.
À la fin de la réunion, nous étions devant le verre de lamitié, javais bu quelques coupes, toujours en sa compagnie. Cet homme marié me plaisait, il ny avait aucun doute. Au moment où il me proposa daller dans son bureau afin de me montrer le dernier devoir de ma fille, je savais pertinemment que ce nétait pas la raison principale. Flattée d'être courtisée, je lavais suivi, sachant que je ne ferais pas cette bêtise. Cependant, une fois seule avec lui dans sa salle, grisée par l'alcool, je métais laissée aller, il me prit dans ses bras et mavait embrassée. Ce baiser mavait émoustillé, javais ressenti des frissons sur les bras, sur les jambes, jusquà mon ventre. Ses caresses sur mes hanches et dans mon dos, me faisaient un bien fou. Je me plaquais à lui, les bras autour de son cou, je lui caressais les cheveux et la tête, je ne pensais plus à rien.
Lorsque sa main sinsinua sous ma robe pour se poser sur mon entrejambe, au lieu de refuser, javais écarté les cuisses afin quil puisse atteindre son but sans difficulté. Nous nous embrassions encore, javais ma main sur son torse et jouait avec sa fine toison dorée.
Après mon orgasme, jétais transportée dans un élan tel que javais entrepris de lui déboutonner son pantalon pour me saisir de son sexe en érection. Je pris moi-même la décision de maccroupir devant lui et de le branler doucement, son gland était tout humide d'excitation, cela mexcitait de voir ça. Je le léchai à grand coups de langue et, entièrement je l'avais avalé. Je le suçais, il appréciait beaucoup au vu de ses gémissements que jentendais. Je continuais les vas et viens tout en prenant son pénis presque entièrement dans ma bouche. Il semblait aux anges, il devait adorer ça, il appuyait ses mains sur ma tête afin que je ne cesse pas cette fellation. Javais poursuivi jusqu'à le faire jouir. Ne voulant pas prendre son sperme dans ma bouche, je métais retirée et il éjacula sur ma langue laissant ce liquide blanchâtre couler sur le parquet de la salle de cours.
Lorsque jétais rentrée à la maison, Xavier nétait pas couché, je métais préparée pour la nuit et je vins me lover dans ses bras sur le canapé du salon. Je ne le faisais plus depuis longtemps mais je me blottissais contre lui comme une chatte en chaleur, je lui caressais les cuisses sous son short, il mavait pris dans ses bras et mavait embrassé, cela faisait une éternité que nous ne nous étions pas donné un baiser avec autant de sensualité. Javais ressenti sous mes doigts quil était prêt mais voulant lui procurer le même plaisir quau professeur, je lui fis une fellation, je comprenais que tous les hommes étaient les mêmes, ils adorent ce genre de pratique qui les rend encore plus gros et plus dur.
Ma chérie, quest-ce qui tes arrivé, ça fait bien longtemps que je nai pas eu un plaisir comme ce soir.
Merci mon amour, moi aussi. Javais vraiment envie de toi. Je taime. Nous devrions, nous coucher maintenant.
Depuis ce soir-là, nous avions retrouvé une vraie relation sexuelle et cela continua presquun an. Nous avions fait lamour tous les jours avec beaucoup dintensité pendant les trois semaines de congé, ce que nous faisions plus que quelques fois par semaine. Mais à partir de la rentrée, le stress de la reprise, lécole et toujours les mêmes soucis, la routine se réinstalla. Au mois de novembre, nous étions au même point quun an et demi auparavant. Je me devais de faire quelque chose, mon adultère avec ce prof avait fonctionné, pourquoi ne pas renouveler cette expérience.
Je navais rien calculé mais le hasard fait bien les choses, mon patron avait invité deux collègues dune autre agence afin que ma collègue et moi nous les informions sur notre façon de travailler. Le garçon avec lequel je passai la journée était bien plus jeune que moi, il navait que 28 ans. Très vite dans la matinée, il commença à me flatter, me complimenter. Au départ, ce nétait que sur ma façon de travailler mais au repas que nous avions pris à quatre, il devint un peu plus entreprenant, me touchant la main me disant des gentillesses, ce type qui nétait pas mal ne mattirait pas plus que cela mais à la fin du repas, lorsquil posa sa main sur ma cuisse, je ne lui avais pas montré ma résistance. Javais uniquement posé la mienne sur la sienne en la retirant délicatement afin de ne pas le blesser dans son amour propre, en lui disant simplement :
Pas ici, je suis connue et mariée.
Il avait compris et je venais douvrir en grand une suite favorable à ce quil recherchait. Il navait pas lintention de finir la journée loin des siens, sans avoir pris du plaisir et jétais sa proie.
Lui ny croyait plus, il savait que je nétais pas libre et lheure de la sortie approchait à grand pas. Nous étions lun à côté de lautre, prêt à se dire adieu, lorsque je lui dis dans loreille en nous faisant une bise :
Rejoins-moi dans ma voiture sur le parking.
Non ! Je ne peux pas, nous navons quun véhicule et nous ne rentrons pas tout de suite, nous sommes à lhôtel pour cette nuit.
Il me donna discrètement les coordonnées de lhôtel et nous devions nous retrouver dans une demi-heure dans sa chambre. Jétais toute excitée de reprendre un amant, une fois dans la chambre, nous nous étions étreints dans un baiser fougueux. Très vite, il attrapa ma robe et me lenleva je me retrouvais en petite culotte et soutien-gorge. Pour lui rendre la pareille, je lui enlevai son polo en moins de temps quil ne faut pour le dire et le poussai sur le lit. Couchée sur lui, je défis sa ceinture ainsi que les boutons de son jean et tirai dessus en descendant le long des jambes.
Puis son boxer connut le même sort, il se retrouvait nu comme un ver sur le lit, son sexe érigé à ma vue avait une belle érection. Je fini de me dévêtir puis me baissa vers son phallus que je pris en bouche. Mes lèvres coulissaient sur le dessus de sa verge, pendant quavec ma main droite je masturbais la base en exerçant une légère pression et rotation du poignet et ma main gauche lui caressait et pressait les testicules :
Putain ! tes douée. Me dit-il. Attention ! Si tu continues ainsi je vais vite décharger.
Ne tinquiète pas pour moi.
Jarrêtai et nous nous étions retrouvés en position du 69. Il soccupait de mon intimité me dévorant la vulve pendant que je reprenais sa gâterie. Sa langue excitait mon clitoris pendant quil me masturbait avec deux doigts dans ma fente qui suintait de mon désir. Je mouillais vraiment, ça mexcitait dactiver ma langue sur sa verge. Il ne tenait plus, jétais pressée quil explose dans ma bouche. Ses lèvres aspiraient mon clitoris, il avait pénétré un troisième doigt et les actionnait au plus profond de mon vagin. Moi non plus je ne tiendrais plus longtemps, je sentais en moi monter ma jouissance, je gémis de plaisir en appuyant mon sexe sur sa bouche.
Jobtint enfin mon orgasme en laissant couler mes effluves pendant que dans un râle il éjaculait entre mes lèvres. Jen avait fini avec lui, mais je savais que je nétais pas rassasiée. Pendant que je me rhabillais, il me demanda de rester, je lui répondis que javais deux s et un mari à moccuper.
Lorsque jétais rentrée, pendant toute la soirée, jembrassais, je me frottais et faisais des petits attouchements à Xavier, il avait compris quil devait me donner un coup de main afin que lon se retrouve seuls pour faire lamour. Nous avions passés une soirée mémorable, je connus ce soir-là trois orgasmes et Xavier fut un amant formidable et résistant. Avant de dormir, nous étions allongés sur le lit quand je lui demandai :
Dis-moi la vérité Xavier ! Mas-tu déjà trompée ?
Jamais ma chérie, je te le jure. Et toi ?
Moi non plus, mais jai bien failli cet après-midi. Tu me délaisses en ce moment et un jeune collègue de XXX ma terriblement excitée, il na pas arrêté de me draguer.
Ah ! Cest pour ça
Pourquoi tu ne men parle pas avant. Dis-le-moi mon amour. Je te promets que je ferai plus attention.
Je taime Xavier, je ne veux pas te perdre.
Depuis cette soirée, nous connaissons le bonheur comme lors de nos premières années. Je sais que maintenant, je nai plus besoin de mexciter avec dautres hommes, je prends les devants et nous nous faisons un grand plaisir en faisant lamour.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Blandine vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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